Mémorial de Montormel

L'Épilogue

L’infanterie britannique de la 51ᵉ division d’infanterie occupe Lisieux en ruine. © IWM B9614

La course à la Seine

À  partir du 15 août, avec la percée polonaise sur la Dives, la progression canadienne sur Falaise, la présence des Américains aux portes d’Argentan et la poussée britannique dans le bocage, le front allemand commence à se fissurer.

Le retrait des forces nazies devint général avec la formation, puis la fermeture de la poche de Falaise-Chambois.

L’infanterie britannique de la 51ᵉ division d’infanterie occupe Lisieux en ruine. © IWM B9614

La course à la Seine

À  partir du 15 août, avec la percée polonaise sur la Dives, la progression canadienne sur Falaise, la présence des Américains aux portes d’Argentan et la poussée britannique dans le bocage, le front allemand commence à se fissurer.

Le retrait des forces nazies devint général avec la formation, puis la fermeture de la poche de Falaise-Chambois.

La chevauchée de Patton

Alors même que la bataille de la Poche de Falaise-Chambois n’est pas encore commencée, plusieurs unités américaines ont réalisé des percées impressionnantes en direction de l’est. 

27 août 1944 – un Sherman de la 7e DB traverse Montry. © NARA, Washington
27 août 1944 – un Sherman de la 7e DB traverse Montry. © NARA, Washington

La chevauchée de Patton

Alors même que la bataille de la Poche de Falaise-Chambois n’est pas encore commencée, plusieurs unités américaines ont réalisé des percées impressionnantes en direction de l’est. 

Juin 1944 – chars allemands détruits dans la Poche de Falaise-Chambois. © CR Basse – Normandie NA USA

Un bilan de la Bataille de Normandie

Alors que les plans alliés prévoient une progression rapide, la confrontation à la réalité révèle l’optimisme de ces estimations.

Écrasés par toutes les supériorités de leurs adversaires – aviation, artillerie, renseignement, nombre, logistique – les forces armées du IIIe Reich ont résisté 2 mois et 3 semaines, infligeant à leurs adversaires des pertes douloureuses et des échecs cuisants – Omaha, Villers-Bocage, cote 112, Saint-Lô, crête de Verrières, Maczuga – sont autant de noms tragiques.

Juin 1944 – chars allemands détruits dans la Poche de Falaise-Chambois. © CR Basse – Normandie NA USA

Un bilan de la Bataille de Normandie

Alors que les plans alliés prévoient une progression rapide, la confrontation à la réalité révèle l’optimisme de ces estimations.

Écrasés par toutes les supériorités de leurs adversaires – aviation, artillerie, renseignement, nombre, logistique – les forces armées du IIIe Reich ont résisté 2 mois et 3 semaines, infligeant à leurs adversaires des pertes douloureuses et des échecs cuisants – Omaha, Villers-Bocage, cote 112, Saint-Lô, crête de Verrières, Maczuga – sont autant de noms tragiques.